Concernant la Nouvelle Calédonie, la médiation politique ne fait pas une démonstration de performance et les intervenants sont plus des négociateurs. En effet, ils font de la gestion de conflit. Ils cherchent à retarder au plus tard ce qui, compte tenu de la manière dont ils conduisent les discussions et ce qu’ils ont en tête, va survenir de toute évidence.
En tant que fondateur de la profession de médiateur, je vous propose une lecture de la situation. Je suis un raisonnement, en le confrontant au passé. Vous pourrez tirer les conclusions qui vont participer à l’Histoire…
- Quelle position ai-je adoptée ? Et les issues ?
- Que retenir de la situation présente ?
- Quels sont les chocs culturels
- Quels sont les chocs économiques
- Quels sont les chocs politiques
- Qui sont les protagonistes ?
- Quid des morts et blessés, gendarmes et civils ?
- Comment se sortir de cette situation
- Quelles sont les issues et perspectives
- Parmi les éléments d’un plan d’action
J’aime bien l’idée d’Albert Einstein selon laquelle la personne intelligente résout les problème tandis que le sage sait les éviter. Je l’ai complétée en observant que le gestionnaire cherche à les entretenir à un niveau acceptable. Ce qui donne :
Maintenant, quand on hérite des problèmes créés par les générations antérieures, il convient de rechercher ce qui peut au mieux y mettre un terme.
Alors, dans cette situation, comment construire l’entente ? Si vous souhaitez en savoir encore plus, avec précision, sur les évènements qui ont façonnés la situation présente, vous pouvez aussi suivre la vidéo sur la chaîne Histoires Crépues, animée par Seumboy Vrainom.